25 années de gain de temps – interview du plus ancien client de TIMOCOM, Dallmaco
Cette année, TIMOCOM fête son 25ème anniversaire. En effet, cela fait 25 ans que nous accompagnons les acteurs du secteur de la logistiquegrâce au Smart Logistics System vers la Logistique 4.0. Notre compagnon de route de la première heure est la société Dallmaco Speditionsges. mbH.
Cette année, TIMOCOM fête son 25ème anniversaire. En effet, cela fait 25 ans que nous accompagnons les acteurs du secteur de la logistiquegrâce au Smart Logistics System vers la Logistique 4.0. Notre compagnon de route de la première heure est la société Dallmaco Speditionsges. mbH. Cette société de transport basée à Welle près de Hambourg avait vu le jour cinq ans auparavant lorsqu’elle avait fait ses premiers pas, en 1997, dans notre toute nouvelle Bourse de fret, vers une logistique numérique. Avec son directeur, Wilhelm Dallmann nous nous sommes plongés dans notre histoire commune, nous avons évoqué les défis de l’époque et nous avons découvert les avantages offerts à Dallmaco par notre système jusqu’à maintenant.
Monsieur Dallmann, je tiens tout d’abord à vous remercier de votre participation à cette interview.
C’est un plaisir. Je suis ravi d'y participer ! Il est important de souligner que nos deux entreprises ont été fondées pratiquement simultanément à l'époque.
Nous travaillons ensemble depuis 25 ans. Sans réfléchir longuement, que vous évoquent TIMOCOM et ce partenariat de longue date ?
Beaucoup de beaux souvenirs personnels qui ont débuté avec Jens Thiermann au début de notre partenariat, bien avant la création de TIMOCOM.
Sur le plan professionnel et en ce qui concerne TIMOCOM, je peux dire que Dallmaco était une jeune entreprise de cinq ans à l’époque et était, comme aujourd’hui d’ailleurs, une société ouverte à la nouveauté. Le dirigeant de TIMOCOM a alors proposé de numériser les prises de contact et les transports. Nous connaissions déjà certains de ces contacts dans le système et cette relation de confiance qui perdure jusqu'à aujourd’hui était donc déjà établie.
Pouvez-vous décrire le travail avec cette bourse de fret toute jeune qui, à l’époque, était encore assez exclusive.
À l’époque, on se connectait à Internet via un modem. Je me souviens que notre modem émettait toujours des grincements et que le chargement était un peu long. Nous avions installé la bourse de fret sur un ordinateur central et chaque matin, le suspense était insoutenable à l’idée de découvrir si des offres et, le cas échéant, quelles offres avaient été importées dans la bourse par télétransmission de données.
Lorsque nous trouvions une offre intéressante, nous l’imprimions et nous en faisions la demande par fax au fournisseur ou nous nous contactions par téléphone. Mais pas encore par la fonction d’appel automatique. Beaucoup de choses se faisaient encore manuellement.
En outre, à l’époque, le TIMOCOM ID ne voulait rien dire.
Faisons une petite comparaison : Quelles étaient les tâches les plus fastidieuses il y a 25 ans ? Qu’est-ce qui était évident à l’époque et est jugé trop complexe aujourd’hui ?
Rétrospectivement, les procédures manuelles étaient vraiment fastidieuses à l’époque. À l’époque, il fallait prévoir au moins 30 minutes pour créer un ordre de transport si l’on était en possession de tous les documents nécessaires. Lorsque l’on travaillait avec une entreprise basée à l’étranger, ces trente minutes se transformaient parfois en heures, étant donné que les messages étaient souvent transmis par Télex et que les connexions étaient souvent interrompues. Mais c’était normal, on avait l’habitude à l’époque. Aujourd’hui avec les hauts débits, la facilité de téléchargement des documents et la création d’ordres d’un simple clic, il est difficile de s’imaginer les obstacles auxquels nous étions confrontés à l’époque. Aujourd’hui, pour finaliser un ordre de transport, il ne faut pas plus de trois minutes.
La méthode de travail de l’époque est une chose, être confronté à ses propres défis en est une autre. Quels étaient les défis de Dallmaco lorsque l’entreprise devint cliente de TIMOCOM en 1997 ? À l’époque, qu’est-ce qui vous a incité à accorder votre confiance à ce nouveau format et à devenir l’un de nos premiers clients ?
Les défis auxquels nous étions confrontés étaient les trajets à vide : Nos véhicules parcouraient 1 000 kilomètres à vide pour rentrer. TIMOCOM disposait d’une solution simple pour éviter ces trajets à vide.
Chez TIMOCOM, outre les avantages techniques, nous avons également profité du règlement sous la forme d’un forfait mensuel pour l’utilisation de l’accès. Le règlement de la prestation en soi – et c’est encore le cas aujourd’hui – s’effectue entre les partenaires contractuels pour une prestation effectivement réalisée.
En outre, il règne un climat de confiance dans la bourse de fret. Les clients de TIMOCOM parlent volontiers d’eux. Cette attitude positive, favorable à la transparence, était une nouveauté. Puis le bouche-à-oreille fonctionna très bien, ce qui était un gage de notre sérieux et qui peut aujourd’hui être désigné comme un critère de qualité.
25 ans plus tard – Il a coulé beaucoup d’eau sous les ponts. Avec du recul, quelle aide vous apportée TIMOCOM ? Pouvez-vous l’exprimer en chiffres ?
Nous devons aux applications de TIMOCOM, au niveau des processus, 80 pour cent de gain de temps, car le système et ses interfaces nous permettent de réaliser le traitement de nos ordres de façon entièrement numérique. Nous avons également pu réduire considérablement le nombre de trajets à vide. La zone de recherche dans la bourse de fret, nous a également permis de trouver des frets pour les trajets retours, dans les zones périphériques.
Par ailleurs, l’orientation internationale du système nous a permis d’accéder à de nouveaux marchés. Nous avons notamment ouvert une filiale en Bosnie en 2015. Sans TIMOCOM, nous n’aurions probablement jamais pu établir de contact avec ce pays. Outre le fait d’avoir pu étendre notre présence dans de nouveaux pays, nous avons également appris à les comprendre ainsi que leurs habitants et leurs coutumes locales.
Avant TIMOCOM, il était également difficile de comparer les offres. En tant que jeune entreprise, nous avons pu nous inspirer des autres entreprises – l’argumentation qu’elles utilisent pour justifier leurs prix, ce qu’elles mettent en avant, la façon dont elles négocient ?
Le système nous apporte donc une aide précieuse dans les domaines les plus variés.
Nous en sommes ravis, merci beaucoup ! Nous arrivons déjà à la dernière question et nous aimerions nous tourner vers l’avenir. Quels conseils donneriez-vous à TIMOCOM pour les 25 prochaines année ?
Le système de TIMOCOM a toujours été simple d’utilisation. Malgré les nouveautés qui ont rendu le système plus complexe en soi, il est toujours resté simple d’utilisation. Lorsque nous formons de nouveaux collègues, y compris des personnes en reconversion ou des apprentis qui n’ont jamais travaillé avec le système, ils sont formés en une journée. Vous devez absolument conserver cette simplicité.
Outre cela : Dans le secteur, vous symbolisez l’innovation et j’imagine que TIMOCOM continuera à jouer un rôle essentiel dans la numérisation de la logistique.
Par ailleurs, La société Dallmaco Speditionsges. mbH va fêter ses 30 ans cette année. Nous profitons de cette occasion pour vous féliciter et vous souhaiter de continuer à réaliser de bonnes affaires ainsi qu’une bonne et longue route !